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ProspeKtive
Les Français sont moins heureux au travail que les Américains…
Effet de mode managériale pour les uns, tendance lourde pour les autres, le bien-être au travail constitue une aspiration forte à laquelle un nombre croissant d’entreprises tentent d’apporter une réponse. Deux chercheurs en GRH - Jordane Creusier de l’université du Littoral et Franck Biétry de l’université de Caen – ont développé une échelle de mesure statistiquement valide qu’ils ont ensuite utilisée dans plusieurs travaux internationaux. Au total, plus de 3400 salariés répartis en France, aux Etats-Unis et au Japon ont accepté d’y participer. Les résultats cumulés montrent que l’enthousiasme et l’optimisme américain ne se démentent pas. Ils restent clairement les plus heureux au travail.
Le Covid va-t-il changer nos métiers d’aménageurs ?
La question à laquelle nous sommes exposés ces derniers temps est : « y aura-t-il un post Covid en termes d’environnements de travail et s’agit-il d’une véritable révolution ou d’une simple adaptation ? ».
Les demandes prospectives de nos clients nous engagent à nous pencher sérieusement sur ce sujet qui, en plus d’un challenge pour l’ensemble de nos métiers, représente une nouvelle opportunité commerciale.
L’idée d'un télétravail plus prégnant fait son chemin. Les pistes de réflexion, parfois contradictoires, sont nombreuses sur le bien-fondé de cette alternative. Comment faire cohabiter ces deux modes de travail sans nuire à la performance ? Faut-il plus de flex office et moins de surfaces immobilières ? Comment animer le collectif à distance ? Comment bien coacher et tracker les résultats ? Comment préserver la notion d’équipe même et de son territoire ?
Pourquoi les labellisations sont porteuses de valeur pour les actifs de nos clients
Article publié dans In Interiors, la revue des usages de Business Immo.
Plus que jamais, la qualité environnementale contribue à la valorisation de tout projet immobilier. Alors que les besoins pour des mètres carrés plus vertueux se font sentir, Kardham accélère le développement de son activité de conseil en développement durable.
Enseignements du travail contraint à distance : le bureau, lieu de vie commun et repère spatio-temporel
Le travail est un objet rythmé avec un début et une fin. Ces bornes sont poreuses : il y a des temps où l’on ne fait que travailler et où l’on cherche à se concentrer ; des temps où l’on travaille tout en s’interrompant pour s’occuper d’autres sujets, parfois personnels ; des temps où l’on n’est pas dans une situation de travail tout en répondant à des sollicitations professionnelles ; et, enfin, des temps non travaillés dits de vie privée. Dans ces derniers, toute sollicitation professionnelle est potentiellement vécue comme une intrusion. On retrouve alors les logiques proxémiques d’Edward T. Hall, avec la nécessaire bulle protectrice de l’intimité.
Vers une accélération de la construction du bâtiment intelligent ?
En 11 lettres, il est devenu l’un des termes les plus célèbres de la pandémie de COVID-19 et l’un de ses faits les plus saillants. Du jour au lendemain, des millions de salariés se sont retrouvés en « télétravail » et jamais cette situation ne se serait produite avec une telle ampleur sans le confinement. Selon un sondage OpinionWay-Square Management pour Les Echos, près d'un tiers des actifs ont testé le télétravail au cours des deux mois de confinement et 40% souhaitent réitérer l’expérience de façon ponctuelle post-confinement. Il n’en fallait pas plus pour que les médias se répandent sur cette révolution dans la façon d’envisager le travail. Vraiment ? A y regarder de plus près, la crise a surtout été un accélérateur de tendances déjà émergentes pré-crise, révélant la nécessité de dessiner des environnements de travail plus agiles, plus sûrs et résolument orientés vers les besoins de leurs utilisateurs. Autrement dit, révélatrice de trois fondations essentielles du smart building, et d’autant d’opportunités de s’en emparer pour l’ensemble de la filière.